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Le
KIRI
Chanjman’an se pa pawol, se aksyion.
TÈT KALE TÈT KOLE. FOK SA CHANJE NAN KWADÈBOUKÈ
Chanjman vle di, koupe ak tradyion an ki makonen nou an, travay ansam pou ameliore tout bon vre la vi nou.
Pou chanjman ateri se men nan mem, pou sa fèt.
Pot la ouvè pou tout moun ki kwè nan kamion chanjman’an pou peyi nou avanse , Kew se kasek ou Asek ou byen ou ta vle vini yon sitoyen ki responsab devlopman nan seksyion ou ap viv la, kom Asek ou kasek.
Ansam nap bati peyi nou
Ranpli form sa nap kominike avèw paske ckak sitoyen konte
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ENERGIE-VERTE.jpg Jusqu’à présent, le groupe a déjà planté ses Kiri Maximus en Roumanie, en Bulgarie, en Italie et bien sûr en Allemagne.
RépondreSupprimerLes faits : Enhardi par la politique verte adoptée par le Royaume, le groupe se dote d’une filiale.
Créateur du Kiri Maximus, un arbre très résistant et à croissance rapide, l’allemand Kiri-Group dispose maintenant d’une filiale marocaine : Kiri-Development S.A.R.L.. Pourquoi un tel investissement ? «Avec son économie émergente, ses particularités géographiques et ses besoins croissants en énergie, le pays convient au développement de notre produit. Kiri Maximus est l’arbre le plus rapide en croissance au monde, résistant à des températures entre -31 et 50 degrés et un véritable aspirateur de CO2», explique, au Matin, Christian Schlotter, associé de Kiri-Group.
L’installation de la société au Maroc ne doit rien au hasard. Le groupe avait déjà pris la température du marché lors de la rencontre sur la bioénergie organisée par la Chambre de commerce maroco-allemande en juin dernier. En plus du fait qu’il importe la majorité de ses besoins énergétiques, le Royaume a une sensibilité avérée à l’énergie verte, rappelle Christian Schlotter. En outre, le marché de la construction y reste porteur, d’où une importante consommation de bois, fait valoir Schlotter.
Le business-model de l’entreprise allemande qui fonctionne déjà en Europe est jugé «simple». D’abord, planter des Kiri Maximus sur une surface allant de 200 à 1.000 hectares pour un investissement de 5 millions d’euros. L’année suivante, une usine sera construite pour transformer la production en bois de chantier ou en énergie. La production d’énergie à partir de cette biomasse est neutre en CO2 puisque celui produit lors de la combustion est le même que celui qui a été emprisonné naturellement dans l’arbre lors de sa croissance.
Il est à noter qu’en Europe, Kiri-Group propose des investissements avec une rentabilité de 12% l’an basée sur la production de bois. Cet investissement, en plus d’être écologique est considéré comme «Halal», puisque lié à l’évolution de la nature, toujours selon Schlotter. Les forêts de Kiri Maximus sont ainsi de véritables usines à ciel ouvert avec un taux de production et de rentabilité jugé élevé.
En plus du Maroc, le groupe cible en fait toute la région Mena. Jusqu’à présent, il a déjà planté ses Kiri Maximus en Roumanie, en Bulgarie, en Italie et bien sûr en Allemagne.
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